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Eva loves Tsuki.

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5 avril 2014

Hier j'étais tellement belle, tellement

Hier j'étais tellement belle, tellement désirable, au sommet de mes prouesses de séduction que je ne m'en rendais pas compte. J'ai regardé le ciel avec gourmandise avant de chercher l'envol. L'envol que j'ai raté.

Et je me sens mal maitenant. Mon corps, ma peau, mon visage, mes cheveux... Rien de ma chair ne trouve grâce à mes yeux. Cuisses trop molle, sourire trop fade encadré par des lèvres trop souvevnt abîmées. Fesses pas assez rebondies, pas assez sexy. Peau triste, terne. Regard morne.
J'ai fini par avoir peur du sexe, eur d'être nue dans la lumière alors que j'ai le souvenir distinct de leurs yeux qui tentent de toucher ma peau, mes seins, mon ventre. Mon sexe. Ma chatte. Mon clito. J'adore ces regards. Mais je ne les comprends plus. Je ne comprends pas lorsqu'un homme me regarde avec désir aujourd'hui. Mon corps me paraît si loin de mes propres canons de beauté. C'est dommage, je sais. Je n'ai pas de surpoids, j'ai une poitrine agréable.

Oui, mais je n'aime pas mon corps.

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23 mars 2014

J'ai fermé les yeux et ta voix m'est revenue.

J'ai fermé les yeux et ta voix m'est revenue.


Nous avons vécu ensemble un désir qui nous dépassait. Nous nous sommes jetés l'un à l'autre comme deux fauves affamés.
Nous avons adoré nous droguer. Nous avons goûté aux liqueurs que nos démons nous ont données.

Je ne voulais pas mentir, mais je n'ai rien pu te dire. Ne me reproche pas de ne pas avoir su rester. Ne dis pas que j'ai fui, j'ai sauvé ce que je pouvais.
Je n'ai rien fait, je t'ai seulement brisé. J'ai brisé tes murailles. Je t'ai conquis et je t'ai abandonné.
Je n'avais jamais brisé un rêve ainsi. Je n'avais jamais détruit quelqu'un ainsi.

Je me suis réveillée et ton odeur m'est apparue.


J'ai vu dans tes yeux des émotions que je n'avais jamais connues. J'ai senti des averses d'amour dans les bris de voix que tu m'as laissés. Je suis désolée de t'être revenue. J'ai aimé te torturer, mais ce souvenir n'a pas cessé de me brûler.

 Je ne voulais pas mentir, mais je n'ai rien pu te dire. Ne me demande pas pourquoi je suis partie. Ne dis pas que j'ai fui, j'ai sauvé ce qui me restais.
Je n'ai rien fait, je t'ai seulement brisé. J'ai brisé tes défenses. Je t'ai conquis et je t'ai abandonné.
Je n'avais jamais été blessée ainsi.
Je ne t'ai rien fait, je t'ai à peine aimé. J'ai brisé ta confiance. Je t'ai tout pris et je t'ai rejeté.
Je n'avais jamais écrasé le désir ainsi. Je n'avais jamais eu peur de toi ainsi.

J'aurais peut-être du te laisser gagner au moins une fois. C'est devenu ma plus grande défaite. J'aurais du te laisser gagner cette fois. Je n'ai rien vu de ta faiblesse. Je voulais seulement me sauver.
Je ne t'avouerai pas ce que j'ai fui. Ma course ressemble à une chute inachevable. J'étais trop effrayée par moi-même pour rester.

Je ne voulais pas te mentir, alors je me suis contentée de ne rien te dire. Je n'ai pas su t'entendre.
Je n'ai rien fait, je t'ai seulement brisé. J'ai brisé tout ce qui te protégeait. Je t'ai conquis et je t'ai abandonné.
Je ne t'ai rien fait, je t'ai à peine aimé. J'ai brisé tout ce qui m'épargnait. Je t'ai tout pris et je t'ai rejeté.
Je n'avais jamais écrasé le désir ainsi. Je n'avais jamais eu peur de moi ainsi.

16 mars 2014

Tu étais un Dieu du sexe esclave de l'Amour.

Tu étais un Dieu du sexe esclave de l'Amour. Comme ue roi vassal d'une force étrange, délétère et ambiguë. Tu étais souverain de mes fantasmes, couronné par la gloire de mes orgasmes. Mais tu n'es plus rien que le souvenir dont nous nous somme lassé.

Tu étais roi parmi les rois, pauvre homme déifié par l'Origine du monde. Et tu as abdiqué, renversé par l'imperturbable désir qui nous assaillait.
Ah, si tu n'avais été qu'Eros, quelle ivresse sans dépit ! Rien n'était plus fou que ce plaisir éreintant que nous nous imposions. Rien ne serait plus doux que la coupe dans laquelle nous nous servirions. Caresses effrayantes de foutaises.
Pourquoi Eos s'est-il pris pour sa propre mère ? Mystère.

Je ne t'aurai pas donné plus, pas par manque d'envie mais par raison. Tu m'aurais consommée, consummée, dévorée. J'aurais fait de même envers toi. Nous n'étions pas fait pour nous aimer.

27 septembre 2013

Take your time& Do with me what you willI

Take your time
& Do with me what you will
I won't mind

You know I'm ill

You know I'm ill

 

 

Mal Peur Froid Brûlures Terreur Honte Larmes Larmes Fuite Refus Impensable Oubli Souvenirs Cauchemar Nuit Attente Peur Brûlures Honte Refus Cri Solitude Dommages

 

 

 Look me in the eyes I want it

One will give you pain,

& One will give you pleasure

 

 

 

Blessure Balafre Larmes Pluie Froid Soir Crispation Délires Ivresse Soumission Désirs Folie Caresse Meurtre Epuisement Résonnance Violence Coups Mal Honte Confiance Dégradation Viol Mal

 

 

Burry me alive

I can see it in your eyes:

You want it

 

8 septembre 2013

Tu es plus facile à séduire qu'à comprendre.

Tu es plus facile à séduire qu'à comprendre. Fatiguée, je ne t'ai pas ramassé mais suis partie trop loin. Et je préfère te manquer qu'à tes yeux feindre d'exister. Au soleil de mes peines, je danse loin de toi. Sans toi.

Que ferais-je donc si tu revenais ? 

Sachant que rien dans mes larmes ne saurait changer
Devrais-je en blêmir ou enchantée ?
Lâchement m'éloigner comme si notre heure sonnait

Cet adieu à jamais,
Laisse-moi donc le regret
De te dire que je m'en vais

Comment saurais-je encore t’ensorceler ?
Sans pouvoir retrouver le sourire qui te troublais
Jouer de toi comme tu aimais
Voudrais-je alors te voir lutter sans céder ?

Quel adieu à jamais
Laisse-toi le regret
De m'en avoir trop fait

Tu es plus facile à suivre qu'à aimer. Et plus je te fuis, plus je regarde ce que je t'ai donné de ma vie. Et l'encre est moins noire que tous ces regards lancés à mon égard. Mais je danserai loin de toi.

 

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25 juillet 2013

Et qui demain ?D'homme à femmeDe mains en

Et qui demain ?
D'homme à femme
De mains en mains
Reste, Madame

Il est joli
Mais il est l'heure
Du fond du lit
Sourir' moqueur

Et comme on file
Le train attend
Depuis mon île
S'rait indécent

D'être en retard
A son manoir
Court mon cafard
En ling'rie noire

Lorsque l'on danse
Sans ma vertu
Que tu offenses
Mon corps si cru

 

15 juin 2013

Imagine-moi en haut d'un pont, d'une falaise ou d'un building... J'aurais l'air bien conne quand j'sauterai dans le vide.

*

 

C'est fou cette capacité que j'ai à dégager du sex-appeal. Au moins aussi dingue que ma capacité à ne pas inspirer la réussite.

Ah j'en ai marre, tu sais, Lecteur. J'en ai marre. Oui je me définis par mes réussites malgré tout ce que je peux prétendre, et très franchement là... Mon niveau de moi tend vers des niveaux dangereusement négatifs.

Et puis c'est un cercle vicieux. J'ai beau sourire, mon échec se reflète sur ma tête et j'en ai conscience. Et l'Autre aussi.

 

J'en ai marre. La seule énergie que j'avais c'était la destruction et je l'ai perdue. Il faut que je trouve de quoi construire. Tu parles. J'y arrive pas.

Je veux bien essayer hein. Je veux bien encore essayer même hein. Mais juste... Je veux que ça marche à un moment.

 

 

la-esmeralda

 

J'ai tellement envie de partir. Décamper. Courir.
Foutues fuites vers la liberté qui m'ont donné un avant-goût du désastre de l'absurde. La liberté totale est une prison. Ecarter les cuisses indéfiniment, par ou pour des gens qu'on ne choisit plus à force d'habitude. Routine stupide. Si au moins ça rapportait du fric. Même pas.

 

Bassesse béate de l'Ancien Testament.

 

Tu vois, l'Ex, tu aurais été parfait si j'avais été celle que j'étais à mes premières amours. Ce n'est pas pour rien que je t'ai imaginé dans ma vie comme en bail pour les quatre-vingts prochaines années. Jusqu'à l'évidence. On est pas fait l'un pour l'autre. Loin de là. Nous sommes deux batraciens, moi grenouille et toi crapaud, et nous n'avons rien à faire ensemble parce que nous ne nous tirerons pas du marais d'où nous venons. Nous n'avons rien de ces choses formidables qu'on fait lorsqu'on est fou amoureux. Ou même amoureux. Nous étions rien de ce que j'imaginais pour moi.

 

Je suis si sauve, soignée sans -toi-.
Rire et rompre -rire puis rompre-, rire pour rompre, (rire de rompre).

 

Tu sais, Chéri, tu es devenu la seule chose de bien dans ma vie, et c'est affreux de l'avouer comme ça, mais cette situation ne me convient pas. Je ne peux pas continuer comme ça, tu sais. Je suis beaucoup trop vieille pour croire que l'amour est plus fort que tout. Mais je ne vais pas me tirer alors que je t'aime, pourtant. Entre nous, oui ça va. Mais moi, non ça ne va pas. Je construis tout autour de toi, autour de nous, et ça ne me suffit pas. Est-ce un défaut de ne pas pouvoir se contenter de ce que l'on a ? J'ai même pas vingt ans. Si ma vie se construit déjà à ton crochet, alors je préfère crever. Pardon pour la violence.

 

Émeute pacifique de notre rencontre.

 

9 juin 2013

"Formidable. Tu étais formidable, j'étais fort

"Formidable. Tu étais formidable, j'étais fort minable. Nous étions formidables."

 

A qui le dis-tu ? Nous étions deux enfants stupides dans la course vers la liberté. Qu'est-ce que tu crois ? Que je ne sais pas ce que tu es ? Que je ne savais pas à quoi m'attendre avec toi ? Mais tu n'es rien de plus qu'un peu de mes défauts au masculin avec un caractère de lâche et de chien affamé de baise. T'aurais été une fille, t'aurais été une pute. Mais tu vois, t'es un mec, alors t'es un tombeur. Connard va.

"Formidable. Tu étais formidable, j'étais fort minable. Nous étions formidables."

 

Chéri, j't'ai même pas dragué. Je me suis contenté de t'ensorceller. Je sais, tu croyais qu'on jouait et que je perdais. Tu croyais que j'étais une île d'amour et de plaisir. Abruti. J'étais tellement furieuse de te voir lutter que je t'en trouvais pitoyable. J'aurais pu te faire péter les plombs, j'aurais pu te pousser à la ruine que t'y serais aller en courant. Un peu comme ce que tu m'as fait, mais en bien pire. 

"Formidable. Tu étais formidable, j'étais fort minable. Nous étions formidables."


J'aurais peut-être pu être la putains qui brise ton couple. Ton couple, lui aussi si formidable de résister à ta frustration fort minable. Tu n'as qu'à traîner dans un sex-shop et acheter un vagin en plastique. Je devrais peut-être t'en offrir un. Ca te rappellera des souvenirs. Tu sais, le pire c'est peut-être que je ne t'ai pas aimé. C'est pire que si on avait couché et découché. J'en tremble rien que d'y repenser. Tu m'as tellement rien fait, chéri, que parfois je t'en hais.

2 juin 2013

Je t'ai montré le pire de moi. J'aimerais

Je t'ai montré le pire de moi. J'aimerais seulement aujourd'hui te montrer le meilleur.

Mais par où commencer ?
Te donner des raisons de m'épouser, c'est bien joli, mais tu n'en seras pas pour autant convaincu que je peux être plus que ta petite amie.
Te dire que je fais des efforts, c'est touchant, mais tu n'en seras pas moins fatigué de mes sautes d'humeur.
Te faire des promesses, c'est bien beau, mais tu n'en seras pas moins déçu si je ne sais pas les tenir.

Je ne t'ai pas fait signer pour ce que tu vis aujourd'hui avec moi. J'aimerais que tu saches que tu es plus qu'un amant, plus qu'un ami.
Je ne suis pas très douée pour écrire des lettres d'amour -mais qui saurait se vanter de savoir écrire ses sentiments amoureux ?-

Tu me manques chaque soir, lorsque je m'endors, cherchant ta présence, tu me manques chaque matin, lorsque je sursaute en découvrant ton absence.
Je rêve de vivre avec toi et pourtant, je sais que nous ne sommes pas prêts. N'est-ce pas ?

En amour, il n'y a pas de plus grand désastre que la mort de l'imagination (George Meredith). Alors je nous cherche de nouveaux jeux. Mais mon corps ne suit pas. Je suis fatiguée, tu le sais. Je suis épuisée à vrai dire. Je crois que je suis folle de toi, mais que ces deux dernières années m'ont affectée plus que je n'admets à haute voix. Je le sens en moi. Quand j'essaie de me concentrer, mon esprit paraît hurler. Hurler de colère, hurler de fatigue, hurler des dizaines de choses qu'il réclame en même temps. Comment nous retrouver dans ces conditions ?

Et puis il y a aussi ton départ, imminent, qui m'effraie plus que de raison. Comme si je ne me sentais pas la force de t'attendre un mois, comme si j'allais devenir l'ombre de moi-même. (Ouh, ce que ça dégouline tout ça dis donc).

Alors oui voilà, je t'aime, je t'aime plus que tout même, plus que moi parfois même. Mais je ne suis pas douée pour ces choses là. Les autres le sont pour moi en général. Et aujourd'hui tout ce que tu me donnes, je ne sais juste pas comment te le rendre. Alors je me contente de t'aimer autant que je le peux, de ressentir ton amour, de te remercier chaque jour de tout ce que tu m'apportes. J'espère que tu comprends que j'essaie d'apprendre à te donner comme tu sais, toi, le faire.

22 mai 2013

Je ferai peut-être un jour parti du camp des gens que j'insulte en silence et en respectant l'étiquette et les convenances.

Aujourd'hui, comme depuis trois jours, tâches administratives.

  1. Pour ma réorientation imminente (à moins qu'un miracle se soit produit il y a une semaine, auquel cas je jure de ne pas manger de chocolat pendant un mois. Ou une semaine).
  2. Pour trouver un job.

Soyons honnêtes, parlons peu parlons bien, si je ne trouve pas de job, oui, ce sera gênant. Une aiguille dans mon pied sans Louboutin à la fin de l'été (sans soirée au bar ni restau ni gros/petit cadeau pour Q. non plus).
Si je ne trouve pas de réorientation, ou plutôt, si je continue sur la voie de l'incompréhension administrative... Ce sera autrement plus douloureux. Un gros rocher s'écrasant sur mon pied sans Louboutin, jusqu'à la fin de ma vie mon année. J'aurai alors l'occasion de trouver du travail pendant une année entière, ceci dit (mais... Ce n'est PAS un projet VALABLE. En effet, je n'aurai pas le coeur à acheter des Louboutin si je travaille comme caissière, employée à tout faire ou encore femme de ménage hôtesse de caisse, employée polyvalente ou encore technicienne de surface. (Le premier qui me traite de superficielle, je le boude vertueusement.)

Le problème de cette histoire de réorientation, c'est que oui je sais je m'y prends tard, mais comment vous dire, j'ai voulu croire à ma putains de salope de PACES jusqu'à la fin. Je sais, je rature beaucoup, mais c'est un billet sur le très vif et très à chaud. Donc oui je stresse, non je suis pas contente du tout, et puis pourquoi est-ce qu'il faut faire une préinscription en ligne s'il faut ensuite tout réécrire à la main sur les formulaires que je dois imprimer moi-même, comme si cette petite catin de PACES à Paris 6 ne m'avait pas déjà fait assez imprimé ces deux dernières années (alors qu'on a des putains de poly qui pèsent super lourd, à peu près 20Kg de polys par an, mais il faut encore imprimer... Ceci est une spécialité de la PACES à P6, je ne saurai accuser sans preuve le reste de l'UPMC). Je rentre mes moyennes de l'année (terminale et première) MAIS APRES IL FAUT QUE JE LEUR SCANNE MES BULLETINS (ça c'est paris 2, et c'est sûrement un de mes premiers choix, alors je remplis et je souris socialement) !!! Bref.
Et puis il y a cette incompréhension aussi. Pourquoi est-ce que toutes les facs de droit d'une même académie (au moins) n'ont-elles pas un dossier commun ? Pourquoi est-ce qu'il faut que je renvoie 5 fois les mêmes informations... En combien d'exemplaires en plus après...? Certains ont parlé de 10 formulaires l'année dernière à la Sorbonne... Gna. Gna. Gnaaaaaa...!!!
Encore un détail surprenant. A Nanterre (Paris 10) j'ai été refusée. En tout cas, l'état de ma demande a changé, "refus". Gnumpf. J'ai pas encore envoyé ni lettre de motivation, ni dossier, ni résultats du bac. Que neni. Quels sont vos critère ? N'y a-t-il déjà plus de places chez vous ? Vous moqueriez-vous, à tout hasard, du monde ? Si je suis acceptée à Paris 1 ou 2 ou 5 et pas à Nanterre, eh bien... C'est que Nanterre ne sait pas s'y prendre pour recruter des étudiants. Seriously. Je les emmerde, c'est pas mon premier choix.
Enfin, je m'aperçois que ma motivation d'étudiante ne veut pas partir en banlieue (c'est-à-dire dans un endroit non accessible en métro ou distant de plus de deux stations de Paris en RER/Transilien). Et que Cergy ne m'attire pas du tout, particulièrement, si je dois faire du droit. Aussi, si je devais n'être acceptée qu'à Cergy en droit, je réfléchirai fortement et avec une insistance nette pour me réorienter en science à l'UPMC. Le but, c'est d'avoir des d'avoir des Louboutin ♥ ♥ ♥ (et donc d'abord des débouchés).

Avec tout ça, je n'ai toujours pas pu, depuis 3 jours, achever mon film, Gladiator. Pour une fois dans ma vie où je regarde un film sans commenter à haute voix ou dans ma tête le cul des acteurs/actrices... Zut.

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